OK. Va dans la salle de bain pour te débarrasser de la cire »
Je m’y rends, j’éprouve quelque peine à me débarrasser de cette
gangue épaisse, mais la cire s’amollissant à force d’eau chaude, je
parviens à enlever toute la couche qui couvre mon pubis, ma
queue et mon gland. Ce frottement a fini par m’exciter, et, c’est la
bite bien raide que je reviens dans la pièce principale. Yohan n’a pas
bougé du canapé, il n’a pas un regard pour moi. Une
clope au bec, un verre à la main, abandonné, nu, sa main caresse son
sexe en en semi érection, il me dit d’une voix un peu enrouée : « T’es
là, salope ? T’es prête à souffrir? » Sans réfléchir
davantage et ravi de le voir de nouveau partant je réponds très vite
« A vos ordres, Maître ! »
Il se lève avec un peu de peine et dit « Bien. Tu vas au milieu de la pièce, tu ne bouges pas et tu attends ». Je m’exécute, je bande de nouveau, je frémis du plaisir de l’attente. Face au mur, je ne sais, une fois de plus, ce qu’il cherche dans le désordre de son appartement. Après de longues minutes, je le sens revenu derrière moi. Il prend mes bras, mes mains et les lie dans mon dos avec une corde qui me semble très souple mais qui se révèlera impitoyable quand je tenterai le moindre mouvement. Un moment s’écoule, d’autres bruits de recherche me parviennent, mais je ne bouge pas, comme il me l’a ordonné.
Une longue respiration et je sens un tissu odorant pénétrer dans ma bouche et s’y enfoncer : « C’est un slip que j’ai bien porté, c’est ce que les putes comme toi méritent » me dit Yohan à l’oreille. J’en apprécie la texture, les saveurs et les odeurs. Face à moi, il me décoche ensuite un mollard qui dégouline sur mon visage et je l’en remercie maladroitement : il n’est pas facile de parler quand un slip roulé occupe toute la bouche. Il s’en contente, dirait-on.
Sans un mot, il ajoute un poids passablement lourd à la chaîne qui relie mes pinces à seins et, comme je grimace, plusieurs gifles s’abattent sur moi, accompagnées de coups de poing et de genou, sur mes jambes, mes reins, mes fesses, ma queue, mes couilles. Je gémis, le slip qui obstrue ma bouche ne permet pas davantage, je suis content, malgré la douleur, que la séance recommence.
« Par terre, sur le ventre ! » Je m’exécute sans tarder. De ses pieds, il écarte largement mes jambes et entreprend de donner des coups de plus en plus fort à mes couilles offertes. Je mords le slip et gémis. Les coups cessent, ses pas s’éloignent, plus rien. Yohan est de nouveau assis sur le canapé et je suppose qu’il me regarde, nu, à plat ventre, les jambes écartées, offert à sa volonté. Les minutes qui passent me semblent interminables tant mon excitation est grande. J’anticipe sur les supplices que je voudrais endurer mais Yohan est toujours immobile. Il allume une cigarette, j’attends, toujours offert. Il se lève, vient près de moi, me considère un instant, s’accroupit et, après m’avoir un peu redressé en me tirant par les cheveux, crache plusieurs fois sur mon visage. Il se relève, se dirige vers mes pieds et s’agenouille.
Soudain, une douleur fulgurante parcourt tout mon corps, je parviens à peine à étouffer un cri dans le linge qui me bâillonne, une douleur vive qui persiste et se répand de mes couilles à tout mon corps. Je n’en identifie pas encore la cause, quand la même sensation se reproduit, au même endroit, et de nouveau, un tressaillement parcourt mon corps tout entier. « Je t’avais dit que nous ferions mieux… » La voix de Yohan me parvient confusément dans ma souffrance, mais je comprends qu’il est en train de brûler mes couilles avec le bout incandescent d’une cigarette. De multiples pointes de feu attaquent mes fesses à présent ; il les écarte et je sens ces pointes terriblement aiguës et brûlantes attaquer l’orifice de mon anus et s’y attarder. J’entends le briquet qui rallume le brandon éteint pour de nouvelles agressions, tandis que je tente de hurler et de me débattre, mais la corde qui lie mes mains est redoutable et la force de Yohan maîtrise à merveille les tentatives d’échappatoire auxquelles se livrent mes jambes. La séance se poursuit ; peu à peu, je maîtrise cette douleur que j’identifie maintenant, que j’accepte et dont je tire de la jouissance. Mes fesses sont brûlantes, je gémis, mais de plaisir, je crois. Le bout de la cigarette s’emploie à dessiner sur mes fesses des figures que je devine : croix, cercles, triangles. J’en attends avec avidité la prochaine morsure que j’espère et subis dans l’acceptation sans réserve du plaisir de l’autre…et du mien. Peu à peu les brûlures se rapprochent de mon trou du cul que je contracte peut-être involontairement, c’est insidieux, intermittent : une petite brûlure vient se poser au bord, au centre, à l’autre bord. D’un coup sec, Yohan applique la cigarette sur ma rondelle, comme il l’aurait fait sur le fond d’un cendrier, il écrase le bout enflammé en appuyant de toutes ses forces. Le slip qui obstrue ma bouche n’est plus suffisant pour étouffer mon cri. La cigarette éteinte est enfoncée dans mon cul, elle y pénètre et je sens ce corps étranger en moi. Je suis à plat ventre, essoufflé, un peu étourdi ; j’attends la volonté de mon Maître Yohan pour réagir.
« Lève-toi ». Encore étourdi, j’obéis. « Va dans la chambre ». La pièce est baignée d’une lumière apaisante, le lit n’est couvert que d’un drap. Yohan ôte mes pinces à seins, sans m’en avoir averti, la douleur est terrible et je pousse un cri étouffé. Il enlève le slip qui obstruait ma bouche et je m’attends à être giflé, mais rien ne vient. « Allonge-toi sur le ventre ». Une fois couché, il délie mes mains, le sang qui afflue à mes poignet me cause de vifs picotements que mon maître atténue en me les massant. Yohan s’allonge sur moi et me murmure à l’oreille : « Tu as du temps ?
- Tout mon temps maître. »
Il me mordille la nuque et pince de nouveau mes seins ultra douloureux pendant un bon moment, tandis que ses genoux cognent régulièrement mon entre-jambes. Puis il se lève et reprend la cordelette qui enserrait mes poignets et entreprend de la serrer très fort à la base de mes couilles que je sens instantanément se gonfler. La corde mord la chair mais la sensation est agréable. Une fois mes couilles bien prisonnière dans cet étau de corde, Yohan se relève, va chercher un flacon dont il verse le contenu dans la paume de sa main et, contre toute attente, se livre sur moi au plus délicieux des massages qu’il m’ait été donné de recevoir. Sa main enduite d’une huile odorante parcourt mon dos, malaxe mes fesses et mes cuisses, j’en soupire de plaisir. « Maintenant, nous allons dormir un peu, le dressage reprendra, tu verras ». Il s’allonge à côté de moi, sa main entoure mon cou et nous plongeons dans une douce torpeur.
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