J’ai 32 ans, je suis brun, d’un petit gabarit « musclé sec », comme
disent les annonces, et j’aime être soumis à un vrai mec. Ce soir, j’ai
rendez-vous avec un copain que je connais depuis
longtemps mais ses absences répétées de la capitale m’ont privé de
sa compagnie. Bien excité, je sonne à la porte de son immeuble.
L’interphone crache un ordre : « Tu montes au 4ème par les
escaliers et en slip ». J’hésite un peu, mais il est tard et dans
cette résidence tranquille, j’ai peu de chance de rencontrer quelqu’un ;
au pire, je redescendrais dare-dare me planquer au rez
de chaussée, sous la volée d’escalier. J’enlève donc mon jean et
monte en tee-shirt et en boxer noir assez moulant jusqu’à chez lui. La
porte est entrouverte, une musique syncopée s’échappe de
l’appartement enfumé. Je pousse la porte. Yohan est assis sur un
canapé, au milieu d’un désordre indescriptible.
Il ne porte qu’un slip blanc à large ceinture rouge et une paire de
baskets usagés. C’est un mec un peu plus âgé que moi, 35-36 ans
peut-être. Il a un corps assez athlétique, imberbe et des
cheveux blonds très ras. Ses yeux bleus expriment une sorte
d’autorité naturelle et sa gueule vacharde découragerait de lui
résister, si tant est que l’idée m’en soit venue… Nos regards se
croisent ; les mondanités sont inutiles. « Enlève tes pompes, ton
tee-shirt, ton slibard et viens à mes pieds ». Je me précipite sur ses
baskets que je commence à lécher avec application. Tandis
que je lèche une chaussure, de l’autre il m’écrase le dos et balance
de petits coups bien assénés sur mes fesses qui ondulent de plaisir. Je
modifie ma position et me mets sur le dos pour vénérer
la semelle de ses godasses qui viennent aussitôt écraser mon visage,
ma queue, mes couilles sur lesquelles il appuie pour me faire gémir,
autant de douleur que de plaisir. Ce décrassage dure une
dizaine de minutes et si je bande bien, je peux également apercevoir
au hasard de mes mouvements que sa queue se dessine droite et dure sous
son slip. « Debout, va vers l’évier ». Je m’empresse
d’obéir. Il me tend un verre que je vide sur son ordre. Placé
derrière moi, Yohan s’empare de mes tits, que j’ai assez développés. Il
les pince progressivement, mais bientôt la douleur est telle
que je tente d’incliner le torse pour y échapper. Un violent coup de
genou entre les fesses me dissuade aussitôt de résister davantage. Ses
doigts musculeux continuent à pincer, à tordre mes
tits, vers le haut, vers le bas et ma queue se tend sous la douleur.
Il me retourne brusquement et m’assène une gifle magistrale. Les
vieilles habitudes reprennent et je m’écrie « Merci, Maître ». Après
près avoir pris une longue rasade de l’alcool que contient
son verre, il approche son visage du mien et il la déverse dans ma
bouche ; j’avale goulûment le liquide tiède. Il s’éloigne et je
l’entends chercher quelque chose dans son bazar. Des bruits
métalliques me parviennent sans que j’ose me retourner. Il revient
bientôt avec des pinces à seins. Il me les pose, la morsure est vive et
je pousse un cri qu’une deuxième gifle fait aussitôt
cesser. Ses mains pèsent sur mes épaules et je me retrouve à genoux
devant son slip déformé par sa queue en pleine érection. Je respire son
odeur de mâle, une odeur acre, où se mêlent des parfums
de transpiration et d’urine. Je suis avec ma langue le contour de sa
bite et de ses couilles. Il se laisse faire en poussant quelques
soupirs de satisfaction ; avec mes dents, et avec précaution,
je fais peu à peu descendre son slip. Quelques poils blonds
apparaissent d’abord. Je les hume et lèche le pubis. Puis la base de sa
queue se révèle, je tire encore sur le tissu et sa bite
magistrale s’en échappe. Je l’avale jusqu’aux couilles que je
caresse et imprime à ma bouche un vif mouvement de va et vient, ce qui
contribue à rendre plus sensible la morsure des pinces ; pour
diminuer la douleur, je m’attarde parfois sur son gland ou son
prépuce.
Une nouvelle gifle m’interrompt. Je tente de me relever, mais ses
poings me retiennent à genoux, le visage tout près de son sexe qu’il
m’empêche de lécher. Il débande peu à peu. Quand sa bite a
repris une mollesse relative il m’ordonne : « Ouvre la bouche,
prends ma queue et ne bouge pas ». J’obéis, sa bite est dans ma bouche,
je reste parfaitement immobile. Alors, un liquide doré
m’envahit bientôt. « Avale, avale tout ! Que pas une goutte ne tombe
sur le sol ! ». Je m’efforce de maîtriser ma respiration et d’absorber
la pisse qui sort en jet épais et se répand dans ma
gorge. Quand il a fini, une fois les dernières gouttes avalées et le
gland consciencieusement nettoyé, il me redresse en me tirant par les
cheveux et enfonce sa langue dans ma bouche pour une
longue pelle, pendant que ses doigts jouent avec les pinces à seins.
Tantôt il tire sur la chaînette qui les relie, tantôt il appuie sur les
pinces elles-mêmes pour que ma chair soit davantage
meurtrie. J’essaie de ne pas trop manifester ma douleur afin de ne
pas interrompre ce roulage de pelle en règle auquel je prends un vif
plaisir. Sa salive inonde ma bouche. Il recule son visage,
crache violemment sur le mien et m’assène une nouvelle gifle. «
Merci, Maître », dis-je, encore sous le charme de cette exploration
buccale… « Tu as été négligent, il y a de la pisse par terre. »
Je me précipite aussitôt au sol et lape les petites flaques de
liquide odorant qui s’étalent sur le carrelage froid. Pendant que je me
livre à cette opération de nettoyage, Yohan me balance des
coups de pieds dans les côtes ou m’écrase le dos, ce qui a pour
résultat d’accroître la douleur provoquée par les pinces.
« Sur le dos ! » ordonne-t-il. Je m’exécute sans tarder. Après que
j’ai une nouvelle fois décrassé ses semelles, une fois qu’elles ont bien
écrasé mes seins, ma bite dressée et mes couilles, il
s’assied sur mon visage : « Bouffe ! ». Bien que j’étouffe un peu,
je m’applique à faire aller et venir ma langue dans la raie de son cul, à
l’enfoncer le plus possible, tout en m’imprégnant une
nouvelle fois de ses odeurs excitantes. Au bout de quelques minutes
qui me paraissent bien longues, il relâche la pression, me permettant
ainsi d’être plus efficace ; il cherche, je le comprends,
à prendre quelque chose sur le meuble à sa droite. Je ne vois pas ce
que c’est et je continue sans fléchir à lécher son cul, m’attardant sur
ses fesses rebondies et bronzées. Il a repris son
assise et immobilisé mes mains avec ses genoux, quand une douleur
nouvelle assaille mon pubis, une douleur piquante, mordante: celle de la
cire chaude de la bougie dont il s’est emparé et qu’il
déverse à la base de ma bite, heureusement totalement rasée sur ses
injonctions. Je me tortille de douleur et de plaisir, tout en continuant
à enfoncer ma langue dans son cul. La cire chaude
provoque mille piqûres excitantes que je ne cherche plus à éviter,
quand peu à peu de nouvelles morsures brûlantes attaquent mon sexe, mon
gland humide. Je manifeste ma douleur par des cris
étouffés, mais je souhaite que cette torture délicieuse ne cesse pas
encore. J’ai renoncé à lécher son cul, je suis trop crispé par la
douleur et trop concentré sur ces sensations douloureuses
mais terriblement plaisantes. Quand il se relève, je constate que ma
bite a disparu sous une épaisse couche de cire blanche, sans avoir
débandé pour autant. Yohan souffle la bougie et avec un
sourire inquiétant –ou prometteur- annonce : « Nous ferons mieux
tout à l’heure… »
Je me relève, nous nous dirigeons vers son divan encombré de toute
sorte d’effets et nous nous asseyons pour reprendre quelques forces. Ma
bite disparaît sous une gangue de cire, je porte
toujours ces pinces à seins auxquelles je m’habitue, je suis bien et
j’attends la suite de cette soirée à laquelle j’avais souvent rêvé…
Nous avons passé un assez long moment à évoquer nos voyages, nos
plans plus ou moins réussis. La conversation est agréable, elle nous
déconnecte des instants sexe que nous avons vécus mais nous
permet d’entretenir notre désir mutuel par les récits de nos
conquêtes qui, parfois, réussissent à combler nos fantasmes communs. Il
suffit aussi d’un peu d’imagination ou d’enjoliver quelques
médiocrités pour y croire… Yohan me propose de prendre un verre ,
une cigarette, autant d’excitants destinés à nous rendre un peu de
vigueur. J’y consens volontiers et le temps passe, me
plongeant dans une incertitude inquiétante : serait-ce déjà fini ?
Je prends garde de ne rien dire, j’attends. De longues minutes de
silence s’instaurent, la musique a cessé. Yohan se lève, tout
nu, magnifique, bricole son ordinateur. J’en profite pour mater son
corps admirable, sa queue longue et fine au repos, ses petites fesses
musclées et galbées. Bientôt un air lancinant, très
rythmé s’échappe. Il semble qu’il lui redonne de l’énergie… Il
revient s’asseoir à côté de moi. « T’es prêt ? » me dit-il en souriant.
« Prêt à tout !
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