Bonsoir tout le monde. Je me lance dans mon premier récit. J'espère que ca vous plaira.
Je suis attaché, sur sa table à manger, les jambes écartées, solidement attachées au pied de la tables, les bras tendus vers l'autre bout.
Elle à commencée à me chauffer le cul à la main, d'abord des claques qui s'assimilerait presque à des caresses, le rythme s'accélérant, elle c'est vite rendue compte qu'elle aurait bien besoin de sa cravache.
Les coups pleuvent, elle ponctue ces coups d'insultes et d'humiliation diverses, elle quitte la pièce un instant et revient en portant un gode ceinture. " Je veux te voir pleurer,ensuite tu me suppliera d'arrêter et je défoncerais ton trou de salope." dit elle en ponctuant ces propos d'un coup de cravache. Je lui aurais répondu volontiers mais un bâillon boule obstruait ma
bouche.
Un nouveau déluge de coup commença, elle était haletante et d'ailleurs, mon cul commençait à chauffer.
Nina me laissait un court répit, le temps de se servir un verre de Martini et de s'allumer une cigarette.
Elle s'approcha de moi, me tira par les cheveux et me dis " Tu est résistant petit salaud, mais tu me suppliera !" tout en me soufflant la fumée de sa Marlboro dans le visage.
J'avais complètement perdu la notion du temps,depuis combien de temps était elle en train de me faire un damier sur le cul? une demie heure? une heure?
La séance reprit, avec un martinet à lanières longues cette fois.
J'avais l'impression que les lanières me labourait littéralement le cul. Une montée d'adrénaline m'envahit, j'entendais mon sang battre dans mes tempes, je le sentais même cheminer, à travers tout
mon corps, de ma poitrine jusque dans mes doigts de pied.
Ça commençais à chauffer sérieusement là derrière.
Je fermait les yeux, pour me concentrer sur autre chose.
Libérer mon esprit.
Mes yeux se sont retournées derrière mes orbites.
Je suis un aigle, je survole paisiblement les montagnes, quelque part en Asie.
La bruit du martinet n'est plus qu'un écho.
Il fais beau, le soleil est au zénith.
La douleur n'est plus qu'un vague souvenir.
Une légère brise rafraichit l'air.
Je vole majestueusement, le ciel m'appartient.
J'entend vaguement la voix de Nina ponctuer ces coups d'un " J'ai rarement vu quelqu'un d'aussi maso que toi, mais tu me suppliera! "
Je suis libre comme l'air, et je profite pleinement de cette liberté.
Je ressenti soudain un malaise, une mauvaise impression.
Une odeur me ramenait rapidement à la réalité, l'odeur du sang.
Mes yeux reprirent place dans mes orbites, les coups avaient arrêtés de pleuvoir.
J'étais détaché. Elle me traita de " fou furieux". Puis me proposa un verre de whisky et une cigarette.
J'acceptai volontiers, on me levant, je constatait que je saignait.
" Tu a souillé mon carrelage, tu me le paiera, la prochaine fois. "
Elle pris des photos du résultat de cette soirée mémorable.
J'ai été fessé pendant plus de deux heures.
Je suis attaché, sur sa table à manger, les jambes écartées, solidement attachées au pied de la tables, les bras tendus vers l'autre bout.
Elle à commencée à me chauffer le cul à la main, d'abord des claques qui s'assimilerait presque à des caresses, le rythme s'accélérant, elle c'est vite rendue compte qu'elle aurait bien besoin de sa cravache.
Les coups pleuvent, elle ponctue ces coups d'insultes et d'humiliation diverses, elle quitte la pièce un instant et revient en portant un gode ceinture. " Je veux te voir pleurer,ensuite tu me suppliera d'arrêter et je défoncerais ton trou de salope." dit elle en ponctuant ces propos d'un coup de cravache. Je lui aurais répondu volontiers mais un bâillon boule obstruait ma
bouche.
Un nouveau déluge de coup commença, elle était haletante et d'ailleurs, mon cul commençait à chauffer.
Nina me laissait un court répit, le temps de se servir un verre de Martini et de s'allumer une cigarette.
Elle s'approcha de moi, me tira par les cheveux et me dis " Tu est résistant petit salaud, mais tu me suppliera !" tout en me soufflant la fumée de sa Marlboro dans le visage.
J'avais complètement perdu la notion du temps,depuis combien de temps était elle en train de me faire un damier sur le cul? une demie heure? une heure?
La séance reprit, avec un martinet à lanières longues cette fois.
J'avais l'impression que les lanières me labourait littéralement le cul. Une montée d'adrénaline m'envahit, j'entendais mon sang battre dans mes tempes, je le sentais même cheminer, à travers tout
mon corps, de ma poitrine jusque dans mes doigts de pied.
Ça commençais à chauffer sérieusement là derrière.
Je fermait les yeux, pour me concentrer sur autre chose.
Libérer mon esprit.
Mes yeux se sont retournées derrière mes orbites.
Je suis un aigle, je survole paisiblement les montagnes, quelque part en Asie.
La bruit du martinet n'est plus qu'un écho.
Il fais beau, le soleil est au zénith.
La douleur n'est plus qu'un vague souvenir.
Une légère brise rafraichit l'air.
Je vole majestueusement, le ciel m'appartient.
J'entend vaguement la voix de Nina ponctuer ces coups d'un " J'ai rarement vu quelqu'un d'aussi maso que toi, mais tu me suppliera! "
Je suis libre comme l'air, et je profite pleinement de cette liberté.
Je ressenti soudain un malaise, une mauvaise impression.
Une odeur me ramenait rapidement à la réalité, l'odeur du sang.
Mes yeux reprirent place dans mes orbites, les coups avaient arrêtés de pleuvoir.
J'étais détaché. Elle me traita de " fou furieux". Puis me proposa un verre de whisky et une cigarette.
J'acceptai volontiers, on me levant, je constatait que je saignait.
" Tu a souillé mon carrelage, tu me le paiera, la prochaine fois. "
Elle pris des photos du résultat de cette soirée mémorable.
J'ai été fessé pendant plus de deux heures.
Message édité par Antho045
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