dimanche 4 novembre 2012

Soumise



« Tu porteras une tenue sexy ;

Aucune culotte ou apparentée ne sera autorisé ;

Pas de maquillage ;

Des bottes à talons ou des escarpins ;

Une paire de stay-up, pas de bas collant ;

Aucun poils disgracieux ne sera autorisé ;

A l'heure prévue tu m'attendras au point de rendez-vous ;

Tu ne seras pas autorisée à me regarder ;

Tu ne seras pas autorisée à fermer les jambes ;

Tu ne parleras que si je te l'autorise.

Maitre A »

Tels était les consignes.

Strict et sans détour, comme il me l'avait dit sur MSN lors de nos longue conversation.

J'angoisse un peu à l'idée de le rencontrer, il n'a pas l'air commode...mais en même temps je ressens ce besoins viscérale de me laisser guider par quelqu'un de fort, brutal parfois.

Je m'étais préparée avec soins. J'ai mis mon ma plus belle mini-jupe, une paire de bas stay-up noir, avec bord en dentelle. Un top blanc avec ouverture à lacet sur le devant.

J'ai ressorti mes plus beaux escarpins, ceux qui ont un talon très haut et fin, avec laçage en cuir sur le mollet.

J'ai pris un rendez-vous la veille au centre de beauté pour me faire une épilation complète.

A la sortie de mon bain, j'ai minutieusement exploré le moindre centimètre carré de peau pour extraire l'éventuel poil qui a échappé à la cire de l'esthéticienne.

Mon entre-jambe est lisse et net, mes jambes brillent sous l'effet de la crème hydratante, ma peau est fraiche. Bref je suis prête à le rencontrer.

A l'heure prévue je l'attends. Il n'a pas fallu attendre un long moment, une grosse allemande s'approche de moi et une vitre s'ouvre.

« Monte à l'avant et n'oublie pas les consignes! » D'un ton sec et direct.

J'ouvre la porte et m'assois confortablement, prenant garde à ne pas croiser son regard.

Je fixe mes pieds pour être certaine.

Il me jette un bandeau et m'ordonne de le passer sur mes yeux.

J'angoisse, si j'étais tombé sur un pervers fou....comment ai-je pu me laisser embarquer dans cette « aventure » complètement folle.

Je ne pouvais plus faire demi-tour à présent, il était seul maitre de mon destin.

Aucun bruit dans la voiture, elle était silencieuse.

Tout au plus je pouvais sentir les virages.

Il pose sa main avec force sur ma cuisse.

« Je t'ai interdit de fermer les jambes! »

Il me faisait peur, sa voix était sèche, le ton était strict.

Je ne me suis pas fait prier pour obéir et mes jambes étaient rapidement écartées comme il le souhaitait.

Il avait bien calculé son coup, le siège de la voiture était profond. Avec mes jambes écartées, il avait tout le loisir d'admirer mon entre-jambes sans aucune fatigue.

Ce type est un sadique!

Je peux sentir que la voiture ralenti, roule quasiment au pas.

Mais je ne sais pas où je suis.

La voiture accélère.

Quelques minutes plus tard, minutes qui me semblait si longue que je me suis permise de me laisser glisser dans une légère somnolence, la voiture s'arrête.

« Réveille-toi! » dit-t'il en me donnant une claque sur la cuisse.

« Sors de la voiture et attend mes instructions »

Je ne me suis pas fait prier pour m'exécuter.

Vu la manière dont il agit, j'ai intérêt à rester obéissante.

Cette petite expédition en voiture m'a quelque peu excitée aussi.

Me savoir jambe écartée, à la vue d'un homme que je connais à peine, n'ayant aucun contrôle sur mon entourage....je sentais ma chatte s'humidifier.

Encore un peu étourdie par ce réveil brutal, je reste debout, attendant ses consignes.

Je ne sais pas où je suis ni ce qui m'attend et bien que cela paraisse complètement fou...ça m'excite.

Je l'entends, il sort de sa voiture, s'approche de moi.

Je peux sentir son souffle contre ma nuque.

Ses mains me pousse le dos et m'oblige à m'incliner.

Il remonte ma minijupe, glisse sa main entre mes cuisses et me force à les écarter un peu plus.

« Petite garce, tu es déjà trempée » dit-t'il en me pinçant le clitoris.

Je ne peux retenir un petit cri de douleur, ce qui me vaut une claque cinglante sur mes fesses dénudée.

Il m'avait positionné sur sa voiture comme les flics font dans les films pour arrêter un voleur.

Mains sur le toit, jambes écartés, mon cul cambré en plus.

Ses mains glissait sur mes cuisses, remontait le long de ma fente déjà fort humide.

La claque sur mes fesses n'atténuait pas mon plaisir bien au contraire.

Ce salaud prenait son pied.

« Tu es mouillée comme une putte! »

Dit-il en m'assénant une autre claque sur mes cuisses.

En quelques instants il avait fait sortir mon sein gauche du top que j'avais mis avec tant de délicatesse.

Il malaxait mon sein, prenant le teton entre son pouce et son index.

Je n'ai pu m'empêcher de laisser un petit soupir de plaisir s'échapper.

Soupir qui fut immédiatement et lourdement sanctionné par une série de claques allant crescendo sur mes cuisses, mon cul dénudé et ma chatte.

Il était sans pitié, ne me laissant aucun répit.

Car une fois la punition achevée, ses doigts se glissait à nouveau entre mes jambes et sur mon sein.

Mon teton était tendu, dur. Mon sein se raffermissait sous ses caresses et ma chatte dégoulinait.

Son pouce tournait doucement autour de mon clitoris.

Je devais mordre mes lèvres pour me retenir de crier de plaisir.

Il retira ses doigts de ma chatte et les glissa dans ma bouche. Je ne lui laissai pas le temps de dire quoique ce soit que déjà je les nettoyais de ma langue avide.

« Je vois que tu aimes ça sale pute, met toi à genoux, bouche ouverte, comme il se doit! »

Ni une, ni deux je m'étais mise à genoux, jambe écartée. Je pouvais deviner au travers de mon bandeau que ma minijupe était totalement remontée, offrant ma chatte humide à l'air libre.

En un instant il enfourna sa bite profondément, me tenant la tête de ses deux mains puissante.

Je failli m'étouffer tellement le geste était brutal.

Il commença un va et viens aidés de ses mains, assénant de temps en temps un coup secs propulsant son gland bien au fond de ma gorge.

Je le suçai avec plaisir, sa bite était grosse, veineuse et avait une odeur légèrement parfumée.

Bien vite le mouvement s'accéléra.

A certain moment, il sortait sa bite de ma bouche et je la léchais de bas en haut, tel une glace.

J'en profitais aussi pour lui asséner un coup de langue sur ses couilles.

Puis il reprit ma tête dans ses mains et effectua une série de rapide va et viens profond.

Son gland butait à chaque fois sur ma glotte, provoquant des spasmes de mon estomac.

Ma respiration était difficile et plus j'avais du mal, plus il allait vite et fort.

Il explosa son foutre dans ma gorge en plusieurs jets. J'en avalais une certaine quantité. Le reste dégoulina le long de ma bouche.

« Un vrai garage à bitte. Je me demande comment sont tes autres trous! »

Il avait le don de m'insulter. Ce qui m'excitait encore plus...et il le savait.

Il me laissa tel quel, la bouche encore rempli de son jus, à genoux, jambes écartées, intimité au grand air...les yeux bandés.

Je ne sais pas combien de temps je suis restée de la sorte, je sais juste que j'entendais les bruits de ses pas autour de moi.

Je pouvais deviner qu'on était dans une sorte de jardin ou parc car j'entendais des branches craquer, des bruissements de feuilles,...

J'en avais un peu marre de rester de la sorte. Je ne suis pas un objet qu'on peut oublier, non mais.

Il a dû s'apercevoir de mon impatience car quelques secondes après, une douleur assez vive me transperçait les seins.

Il venait d'y accrocher, sans ménagements, des pinces lestées.

Je m'abstins de toute tentative de protestation, par crainte de représailles immédiate.

Il fixa des bracelets autour de mes poignets et un collier en cuir glissa autour de mon cou.

Une chaine reliait mon cou à mes poignets en passant par la chainette qui reliait mes tetons endoloris par l'étreinte des pinces.

Le moindre mouvement de mes bras tirait sur mes tetons, provoquant une douleur plus intense.

Il retira le bandeau qui masquait mes yeux. La lumière du jour était aveuglante.

Mon regard croisa le sien l'espace d'une seconde, avant que je ne regarde à nouveau parterre.

Je ne sais fichtre pas où j'étais, tout au plus cela ressemblait à une clairière.

Pas un bruit de « civilisations »...juste les bruits de la nature.

Comme je l'avais senti ma minijupe était remontée, mon top abaissé, mes seins pendait légèrement vers le bas, alourdis par les poids qu'il venait d'y fixer.

Il prenait un plaisir certain à me regarder de la sorte.

« Tes mains sur la tête! »

« Tu manques de discipline, on va arranger cela »

« Je vais te dresser, après cela tu sera aussi docile et obéissante qu'une bonne chienne »

J'ai à peine posé mes mains sur ma tête qu'il m'asséna une série de coup de badine sur mes seins.

A chaque coup, je ressentais une brulure profonde.

Les coups faisaient rouler mes seins de gauches à droites, tirant par la même les poids attachés, multipliant la douleur.

Il n'arrêtait pas, augmentait l'intensité et la fréquence.

Des larmes coulaient des mes yeux, la peau de mes seins était zébrée, rouge vif.

Je me mordais pour ne pas crier de douleur, j'étais au bord de l'évanouissement.

Il l'avait vu et cessa immédiatement.

Ses grandes mains se sont posée sur mes seins rougis et douloureux.

La chaleur de ses paumes filtrait au travers de ma peau et me fit presque oublier ce que je venais de subir.

Il me massait les seins délicatement, tendrement...

Le contraste entre sa brutalité et sa douceur était sidérant.

Il m'aida à me relever mais laissa les pinces lestés et les chaines.

« Nous allons chez moi à présent. Tu peux m'appeler Maître André. »

« Bien Maître, merci Maître » fut ma réponse avant de reprendre place dans la voiture, non sans mal avec les entraves qui me gênaient.

Il y prenait plaisir d'ailleurs, vu son regard.

« Ton regard à croisé le mien, je te l'avais interdit, tu seras donc punie pour cela »

Il l'avait remarqué??

« Oui Maître, je mérite la punition »

La voiture à roulé pendant quelques minutes pour arriver dans une maison de banlieue.

« Tourne-toi que je te retire les chaines »

Quel soulagement. Le bout de mes tetons était si sensible qu'il me faisait mal rien qu'avec le frottement de mon top.

« Quand je te ferai signe, tu entreras dans la maison. Je veux que tu ailles tout droit dans la cave. Tu m'y retrouvera »

Il était déjà sorti de la voiture, me laissant seul à nouveau.

J'étais très excitée, l'épreuve qu'il m'avait fait subir dans la foret n'était qu'un début, un avant-gout...et je regrette que ce soit déjà fini. Je mouille tellement que ma chatte est déjà bien ouverte, dégoulinant un peu sur le cuir du siège.

Il me fit signe et j'obéis à ces ordres.

La cave était sombre, grande, paraissait plus grande que la maison.

Je ne pouvais pas le distinguer car il y avait un puisant projecteur qui m'aveuglait.

« Pose tes mains sur la tête, tourne toi, écarte les jambes, remonte ta mini et penche toi en avant! »

Je ne reconnais pas cette voix, ce n'est pas lui.

Mon dieu dans quel guêpier je me suis fourrée????

« OBEIS ou il t'en coûtera! »

Tournée vers le mur, mes mains sur ma tête, jambes écartée et penchée en avant, offrant la vue de mon cul et de ma chatte.

« Fait glisser tes mains sur ton cul et écarte moi tes fesses de pute »

Je m'exhibais de la sorte à un inconnu, dans une cave, dans un endroit que je ne connaissais pas.

Quelqu'un s'était approché de moi.

Il enfonça d'un coup sec, arrachant par la même un râle de douleur, quelque chose dans mon anus.

J'ai reçu quasiment en même temps une claque sur mes fesses pour le râle que j'ai osé émettre.

L'objet était froid et long. Je le sentais forcer mes sphincters.

De gros doigts rugueux et sec glissaient sur mon clitoris, le frottant sans aucune douceur.

« Elle mouille déjà comme une salope »

Charmant...tout à fait charmant.

Pendant que je le maudissais dans mon for intérieur il avait fixé des bracelets à mes chevilles.

Il continuait de malaxer ma chatte, tout en jouant avec l'objet planté dans mon cul.

C'est qu'il me faisait mal le bougre.

Il me prit par les cheveux en me guida à travers la pièce, me forçant à me mettre quasiment à quatre patte.

Une croix de Saint André m'attendait, j'y étais attachée face au mur.

Ma vision se limitait à des joints de briques.

Je ne sais pas combiens de temps ils m'ont laissée comme cela mais mes bras commençaient à se fatiguer.

Je pouvais les entendre discuter de moi, même se moquer de mon corps. Alors que j'étais attachée comme une vulgaire peinture.

Maitre André se leva et murmure à mon oreille : « Maintenant, tu vas être punies pour tes petites erreurs. Ne me déçoit pas! »

J'avais la gorge sèche, je tremblais..pas de froid mais de peur, j'ose l'avouer.

Une douleur intense me traversa le dos, suivie d'une autre et d'une autre encore.

Les coups de fouets s'enchainaient les uns les autres, de plus en plus.

Ils étaient à deux à me fouetter le dos, les fesses, les cuisses.

Certains coups étaient portés avec précision car le bout du fouet ne claquait pas sur mon dos mais faisait le tour de mon corps pour claquer sur mes seins ou mon bas ventre.

Mais j'ai tenu bon, je n'ai pas émis un cri. Pourtant ce n'était pas l'envie qui m'en manquait.

Ils ont ensuite alterné les vices, entre les fouets à lanières multiples, les pads, les badines,...tout y est passé. Sur mon dos, mes cuisses, mes fesses, ma chatte.

Ma peau n'était plus qu'une surface brulante douloureuse...mais je tenais bon.

La douleur me faisait tourner la tête, j'ai presque basculé dans l'inconscience.

Les coups cessèrent aussi brusquement qu'ils étaient arrivés.

Une main chaude, couverte d'un onguent parfumé se posa sur ma peau meurtrie.

« Avec ceci tu n'aura aucune trace »

La main me massait tout le corps, chaque parcelle de peau était massée.

L'onguent faisait de l'effet, je le sentais pénétrer par les pores de ma peau.

Le massage aussi me faisait de l'effet, j'étais trempée.

Toujours attachée à cette satanée croix, face au mur, ne voyant pas grand-chose, trempée à l'entre jambe, une sorte de plug dans le cul. La situation était très humiliante.

Surtout qu'ils ont pris quelques photos. J'ai entendu les « clicks » typique.

Je n'avais pas remarqué mais la croix de Saint André était pliable.

Enfin si je l'ai constaté..à mes dépends.

Ils ont reculé la croix, pendant ce temps là j'ai pu apercevoir leurs visages.

Lui était grand, musclé. L'autre, celui avec les mains rugueuses était de taille moyenne, un peu bouffi.

Une fois que la croix était au milieu de la pièce, en dégoupillant deux verrous, elle s'inclinait sur la moitié.

Résultat j'étais pliée en deux, jambes écartée.

« C'est une pièce de premier choix, elle a un cul en or »

Ca c'était le petit gros qui s'exprimait.

« Et une bouche très accueillante, j'ai eu le plaisir de la tester à ce niveau »

La c'était la voix de Maitre André.

Il chipota au plug fiché au fond de mon cul, pendant que le petit gros était parti chercher quelque chose.

Le plug s'écarte petit à petit, doucement...dilatant mon cul progressivement.

Le petit gros attache des pinces à mes seins qui pendent et y fixe des chaines.

« Voyons voir si tu dis vrai au sujet de sa bouche de pétasse »

Dit-il en approchant sa verge de mes lèvres.

En même temps, Maitre Jean continue d'ouvrir le plug. Je sens l'air chaud entré dans mon trou ouvert.

Je n'ai pas le temps de protester que déjà la bite du petit gros glisse au fond de ma gorge.

Je suffoque, j'étouffe..mais rien n'y fait, il maintient ma tête.

Son gland heurtait le fond de ma gorge à chaque coup de rein qu'il donnait.

Sa bite n'avait pas un gout très intéressant...un peu trop salée..manque de propreté sans doute.

Maitre André retira le plug de mon cul pour mieux le tartiner avec un liquide visqueux et froid.

Je devinais ma rosace éclatée, en forme de bulbe.

La bite entrait et sortait brusquement de ma bouche, se glissant d'un coup sec au fond.

Son membre était à présent bien gonflé et dur, tapant à chaque fois sur le fond de ma gorge.

Maitre André lubrifia mon cul, glissa ce qui me semblait être trois doigts, puis un quatrième s'ajouta rapidement. Il poussait fortement, le cinquième doigt était passé.

Il poussa encore et encore pour finalement glisser sa main jusqu'au poignet.

Il me fista profondément, sans ménagement. Sa main sortait et rentrait d'un coup sec.

Pendant que l'autre s'obstinait à enfoncer sa bitte au fond de ma gorge.

Ils étaient synchrones, quand l'un sortait, l'autre entrait.

Je sentais le plaisir arriver par vague, à chaque fois que la main de Maitre André défonçait mon cul. Une vague de chaleur prenait naissance dans mon bas ventre.

« Je t'interdis de jouir salope! » dit le petit gros en tirant d'un coup sec sur les chaines de mes seins.

Je sentais sa jouissance arriver...il n'allait plus tarder à me déverser son flot de semence visqueuse et chaude.

Il acheva en s'explosant dans ma bouche et sur mon visage.

Maitre Jean retira sa main de mon cul, laissant un trou béant largement ouvert. Ma rondelle était définitivement explosée.

« Maitre Luc t'a honoré le visage, tu peux être contente...il le fait rarement »

Ainsi donc il s'appelleait Luc.

Mon visage dégoulinait de sa substance poisseuse et chaude.

Pendant qu'il frottait sa bite sur mes joues et mes lèvres.

Je jouais avec le bout de ma langue, nettoyant son gland, ce qui semblait lui faire plaisir.

« Tu avais raison André, cette putte est excellente. J'accepte de la dresser »

Me dresser??? de quoi parlait-il?

On me releva. Mes sangles étaient détachées, mes seins libérés.

Maitre André s'approcha et susurra dans mon oreille :

« Ma chère, je te laisse le choix....tu acceptes le dressage de Maitre Luc ou on arrête là et je te ramène chez toi. »

Cruel dilemme...

Viscéralement j'étais horrifiée.

Mentalement j'avais envie.

Physiquement...je dégoulinais de plaisir.

« Oui Maitre, j'accepte d'être dressée par Maitre Luc, ce sera pour moi un honneur »

Maitre Luc fixa un collier en cuir, attaché à une laisse qui pendait entre mes seins.

« A partir de ce jour tu n'es plus personne, moi seul peut décider de ce qui est bien ou mauvais pour toi. Tu m'obéiras en tout point sans jamais t'opposer à ma volonté.

Mon plaisir seul tu rechercheras, ton corps ne t'appartiens plus, c'est ma propriété.

Tu seras marquée au fer rouge quand j'estimerai que ton éducation sera complète. »

Tel était les paroles de Maitre André et Maitre Luc à qui j'appartenais.

Mon éducation s'annonçait longue, pénible mais le succès en valais la peine.

Fin de l'histoire.

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