lundi 5 novembre 2012

Récit de Marc

J’ai découvert une fois, par hasard, que j’adorais qu’on me torture la bite.
Je n’avais jamais osé franchir le cap pour le faire de façon plus hard.

Pour me torturer la bite, je me la fouettais avec ma ceinture, tout seul avant de me masturber.

J’ai un déplacement professionnel à Paris qui s’est organisé. Je me suis décidé à enfin franchir cette étape.

J’ai fais des recherches sur Internet pour cherche un mec jeune et dominateur.

Ca n’est pas aussi facile de trouver quelqu’un, quand il s’agit d’un plan réel… Pour les fantasmes,
On trouve un monde fou sur le net… pour du réel, c’est moins évident !
J’ai fini par trouver.

Le déplacement était un jeudi et un vendredi. Je me suis organisé pour passer aussi le week-end sur place.

On s’était donné rendez-vous le vendredi soir dans un bar près de la gare de Saint-Lazarre. Comme ça si c’était un lapin, je pouvais toujours décider d’attraper un train… au cas où j’aurais trop les boules pour chercher un autre plan.

Ca n’a pas été un lapin.

J’attendais dans le bar depuis une dizaine de minutes quand il est entré. Je savais que c’était lui parce que nous nous étions échangé nos photos. Il est directement venu vers moi et s’est assis en face de moi.

Le mec avait 22 ans (ça je le savais). Il était plutôt mignon, blond (j’adore les blond), mince, musclé fin, et bien qu’il s’était présenté comme dominateur, il avait un visage plutôt doux.
Je trouve très excitant un mec avec un visage doux, qui soit dominateur... je me sens capable de faire tout ce qu'il ordonne.

Pourvu qu’il veuille se servir de moi… à ce moment là, je ne le savais pas encore.

Il a bu un café puis il a dit qu’on allait chez lui tout de suite.

Il voulait donc se servir de moi. Ca fait bizarre de dire ça, mais j’étais fébrile, j’avais les jambes qui tremblaient. Une sorte de grelottement comme j’en ai lorsque je suis hyper excité et que je vais avoir un plan cul.

Il était garé pas très loin. On y est allé en voiture. C’était pas mal bouché à 19h00. On a mis près de 30 minutes à arriver chez lui. A un moment, il a sorti un flacon de poppers de sa poche de blouson. Il me l’a tendu, et il a dit : « prends en un max et défonce toi ».

J’ai obéis, j’adore le poppers.

Avec l’excitation, et la bouteille neuve, ça m’a fait un effet je vous dis pas. J’étais chaud, prêt à tout.

Dans l’ascenseur je ne me sentais plus. J’ai commencé à lui caresser sa bite par-dessus son pantalon. Il bandait, mais il m’a giflé, une baffe incroyable : « j’ai pas dis que tu pouvais me toucher ».
Il avait le visage doux, mais j’ai bien compris qui était le maître de nous deux.

Quand on est entré dans son appartement, il m’a dit « fou toi à poil batard ». J’ai obéis et une minute après j’étais totalement nu et à genoux.

« Lèche mes pompes, elles sont crades. Je veux qu’elle brillent ». J’ai obéis, et à la fin on les croyait sorties du magasin. Il m’a félicité « c’est bien, tu dois pouvoir servir à quelque chose » a-t-il dit en me donnant quelques tapes sur le cul.
Il a ensuite pris un plug de bonne taille, m'a demandé de le sucer pour
l'humidifier, et me l'a enfilé viollement. Quand la partie large est passée,
j'ai crié, mais qu'est ce que c'était bon.

C’était mon premier plan de ce style, mais je me suis senti fier de moi. J’avais déjà réussi à satisfaire un peu mon jeune maître.

Il m’a dit de prendre encore du poppers, de me défoncer un max.

Le sang tapait dans mes tempes. J’en pouvais plus.

Il m’a ordonné de lui retirer ses chaussures et ses chaussettes.

Je l’ai fais, et j’ai demandé si je pouvais lui lécher les pieds. Il m’a de nouveau giflé parce que je n’avais rien à demander. Puis il m’a demandé de le faire.

Après il s’est déshabillé.

Il avait vraiment un très beau corps. Imberbe (le rêve pour moi) et même sa bite était rasée.

Il ne bandait pas, mais on voyait que c’était un bel engin, vu la taille déjà au repos. Moi je fais 16/17cm en érection. Et au repose elle était
déjà presque aussi longue que la mienne quand je bande.

Il s’est assis sur son canapé, et il m’a dit « j’ai envie de pisser, et j’ai pas envie de me déplacer. Bois et n’en perds pas une goutte, je ne veux pas pourrir mon canapé ».

J’ai immédiatement obéis.
J’ai pris sa bite dans ma bouche, et le liquide jaune a commencé à me couler dans la bouche. J’avalais au fur et à mesure. Je ne voulais pas risquer d’en perdre une goutte... même si je n’avais rien contre une autre gifle.
Il ne devait pas être levé depuis longtemps. Au gout je sentais bien que c’était la première pisse de la journée. Cette qu’on a quand on se lève…

Comme pour ses chaussure, il m’a félicité, cette fois en me caressant la tête comme on le fait à un chien.

Il s’est levé, sans en dire plus et à quitté la pièce. J’attendais à genoux qu’il revienne.

Ce qui fut fait quelques secondes plus tard.

Il avait un martinet à la main.

« Allonges toi sur le dos batard ».

J’obéis avant qu’il n’eu fini sa phrase.

Il s’assit sur mon visage « bouffes moi bien le cul ».

Je lui léchais la rondelle. Elle aussi était imberbe, j’adore décidemment ça.

Je léchais avec assiduité. Il gémissait « c’est bon continue ».
Il était large, je pouvais y enfiler le bout de ma langue, comme si je le
sodomisait avec ma langue.

Il a alors commencé à me fouetter la bite avec le martinet.

Je bandais déjà de lui bouffer le cul, mais les coups, modérés au début y on projeté encore plus de sang. J’avais l’impression de n’avoir jamais autant bandé.

C’était vraiment le rêve.

Il me fouettait la bite et moi je lui bouffais le cul.
« Ca y est, cette fois j’y suis enfin ».
Je bandais comme un taureau… un petit taureau, je n’ai qu’une bite de taille normale, mais je bandais.

Les coups pleuvaient de plus en plus fort.

Quand je me le faisais avec ma ceinture, j’aimais, mais je ne bandais que mou, pas aussi dur que là !

Je sentais son mépris pour moi à ce moment là. J’ai vraiment adoré me sentir sous-humanisé comme ca pour lui.
Il m'a ordonné de lui bouffer les couilles, tout en continuant de me fouetter la bite.

Je sentais le plaisir monter en moi. Les spasmes de ma bite sur le point de jouir et il l’a vu « alors Tu vas gicler juste en te faisant fouetter la bite. T’es vraiment un sacré batard. Gicle ».

Je n’ai pas pu attendre qu’il m’autorise, c’est parti tout seul.

En plus je ne m’étais pas branlé depuis plusieurs jours, et il y avait du stock.

« et bien, ça t’as plu d’être mon batard toi au moins ».

Il est alors relevé.

J’étais toujours à genoux devant lui. Il a commencé à se branler. Il avait l’air excité lui aussi parce qu’il n’a pas mis longtemps à gicler. Et des flots de spermes sont venus s’écraser sur mon visage et dans mes cheveux.

Je m’attendais à ce qu’il me vire alors de chez lui. Compte tenu du plan qu’on venait d’avoir, ça me semblait la suite logique des choses. Je m’y attendais.

Il m’a dit que je pouvais rester là cette nuit, mais dans ce cas demain
matin je subirais le même sort.

Je ne me suis pas fais prier et j’ai passé la nuit chez lui… La suite n’est plus ma première fois.

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